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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 20:56
Lecture et explication du commencement
de l’Évangile selon saint Matthieu
(suite)

Texte rédigé par le Bienheureux Charles de Foucauld le 15 novembre 1901 à Beni Abbès et publié dans « L’esprit de Jésus, méditations 1898-1915 », volume VIII des Œuvres spirituelles de Charles de Foucauld, aux éditions " nouvelle cité ".


Mt 1, 18-21. Quatre choses nous frappent dès le premier moment dans ce passage : l’épreuve à laquelle furent soumis Marie et Joseph dans les premiers temps où parut la grossesse de la sainte Vierge ; la manière admirable dont Dieu y mit fin par l’apparition de l’ange ; le nom de Jésus et sa signification ; la vérité qui résulte de cette signification du nom de Jésus donnée par l’ange, qui est que le seul mal véritable de l’homme est le péché.

 

Que se passa-t-il dans les âmes de Marie et de Joseph ? Pourquoi Marie ne révéla-t-elle pas à Joseph la pure vérité ? Que pensa Joseph ? Quelles furent ses résolutions ? L’Évangile est très sobre de détails. Et en cela même réside une leçon : ce silence nous apprend à ne pas questionner sur ce que nous n’avons pas besoin de savoir, sur ce qu’il ne nous est pas nécessaire de connaître pour nous sanctifier, sur ce dont nous n’aurons pas à subir un examen au jugement dernier ; mais à nous contenter (et il y a là assez de travail pour toutes les heures de la plus longue vie) de bien nous pénétrer des leçons claires et des enseignements nettement donnés par les paroles et les exemples de Jésus, et surtout de les pratiquer parfaitement… Cette première leçon donnée par la brièveté des saints Évangiles en ce passage et en tant d’autres ne saurait être trop remarquée ni trop suivie. Pénétrons-nous des enseignements faciles à comprendre dans les saints Évangiles et employons toutes nos forces à les bien pratiquer et ne perdons pas notre temps à des « pourquoi » qui, pour avoir peut-être quelque apparence d’utilité, nous font en réalité le plus grand dommage en nous empêchant d’employer le temps que nous leur consacrons à l’étude des préceptes et conseils clairs et certains et à leur mise en pratique.

 

Il y a cependant deux choses que, sans sonder les secrets laissés dans l’ombre par les Livres Saints, nous pouvons remarquer, pour les imiter : l’humble et profond silence gardé par Marie sur les communications divines qu’elles avait reçues ; et l’extrême douceur de Joseph qui, dans la circonstance où il se trouve, s’arrête à la résolution la plus favorable pour son épouse, la moins pénible pour elle. Imitons Marie, en gardant toujours un respectueux silence sur toute notre vie intérieure (qui est notre vie d’amour avec le divin Époux : ce sont nos secrets d’amour) ; c’est admettre un tiers dans nos secrets amoureux que de révéler quelque chose de notre vie intérieure : c’est un commencement d’infidélité ; c’est admettre un tiers à une confiance, à des connaissances qui ne doivent être données qu’au seul profond silence sur toute notre vie intérieure excepté envers celui ou ceux à qui nous devons révéler tout ce qui se passe en nous comme à Dieu même, parce qu’il le veut, les ayant établis près de nous comme ses représentants. Et à l’exemple de Joseph, soyons doux, et dans les décisions que nous avons à prendre et qui concernent le prochain, prenons toujours celles qui sont les plus douces, les moins rigoureuses, les plus favorables, les moins pénibles à ceux qu’elles concernent, celles que nous voudrions qu’on prenne si c’était envers nous qu’on avait à les prendre.



         (à suivre)

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 21:42
Lecture et explication du commencement
de l’Évangile selon saint Matthieu
(suite)

Texte rédigé par le Bienheureux Charles de Foucauld le 15 novembre 1901 à Beni Abbès et publié dans « L’esprit de Jésus, méditations 1898-1915 », volume VIII des Œuvres spirituelles de Charles de Foucauld, aux éditions " nouvelle cité ".

 

" Mt 1,1-18. Plusieurs choses nous frappent dans cette énumération.

" (...) Puis une chose nous invite à l’humilité et à la confiance : ce sont ces trois noms de femme, Thamar, Rahab, Bethsabée, qui figurent dans cette généalogie… Gardons-nous de nous enorgueillir de notre race, puisque nous voyons notre Maître, notre Bien-Aimé, notre Divin Jésus avoir parmi ses ancêtres, ces pécheresses ! Gardons-nous de rougir de nos parents pauvres ou méprisés puisque Jésus ne rougit ni d’une Rahab ni d’une Bethsabée ! Gardons-nous de cacher notre parenté avec des personnes peu honorées puisque Jésus proclame ces parentés en tête de son histoire. Soyons très humbles dans tout ce qui concerne notre naissance, notre famille, comme Jésus nous en donne ici l’exemple.   "
 

" Ajoutons à cela que si des rois se trouvent parmi les ancêtres de Jésus, cependant il ne naît pas directement d’eux, mais dédaignant et repoussant leur pourpre, il choisit, pour naître de leur sang, le temps où leurs descendants complètement déchus, sont de pauvres ouvriers, vivant au jour le jour du travail de leurs mains… Naître de pauvres ouvriers, avoir parmi ses ancêtres des pécheurs, méprisés, le proclamer, voilà l’exemple d’humilité que nous donne Jésus. Et en même temps il nous invite à la confiance : que les Thamar, les Rahab, les Bethsabée ne se découragent pas : qu’elles fassent pénitence, renoncent au mal, et Jésus ne rougira pas d’elles : Il leur permettra de l’enfanter, se proclamera leur, se donnera à elles : elles seront non seulement réhabilitées mais honorées et proclamées bienheureuses dans le temps et (dans) l’éternité… Ces noms jetés dans la généalogie sont une annonce de pardon offert par Jésus à tous les pécheurs, un appel à la confiance, une prédiction de miséricorde. "

        (à suivre)

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 20:36
Lecture et explication du commencement
de l’Évangile selon saint Matthieu

Texte rédigé par le Bienheureux Charles de Foucauld le 15 novembre 1901 à Beni Abbès et publié dans « L’esprit de Jésus, méditations 1898-1915 », volume VIII des Œuvres spirituelles de Charles de Foucauld, aux éditions " nouvelle cité ".

 

" Mt 1,1-18. Plusieurs choses nous frappent dans cette énumération.

" D’abord ce nom béni de Jésus qui la couronne et les noms bénis aussi, de Marie et de Joseph qui la précèdent et lui font cortège, comme Jésus fut immédiatement précédé et accompagné ici-bas de Marie et de Joseph… Jésus, le nom chéri et mystérieux de notre Bien-Aimé, du commun Bien-Aimé de tous les humains, de l’époux commun de toutes les âmes humaines, de l’homme en qui sont toutes les perfections infinies de Dieu, de celui dont la vue et l’amour font la béatitude de l’âme dans l’éternité et dans le temps, de celui que tout esprit doit louer et que tout cœur doit aimer, de celui en qui Dieu est visible et aimable, et qu’il suffit d’aimer pour être saint et heureux dans la même mesure qu’on l’aime…

 

     " Jésus entouré de Marie et de Joseph ; Marie qui nous a donné Jésus, qui l’a aimé, imité, lui a obéi, lui a fait des sacrifices, l’a contemplé mieux qu’aucune créature ne l’a fait ni ne le fera jamais ; Marie la plus parfaite, la plus aimable de toutes les pures créatures, Marie notre mère, mère de tous les humains, Jésus étant le frère aîné de tous les hommes ; Joseph qui a tant aimé Jésus, qui a été choisi de Dieu pour lui servir de père et pour servir d’époux à la sainte Vierge, Joseph qui a mené une vie si divine entre Jésus et Marie, les aimant d’un si ardent amour, partageant si complètement leur vie, ne faisant qu’un avec eux autant que c’est possible à une âme, portant toutes leurs croix, aimant, imitant Jésus, lui obéissant, lui faisant tous les sacrifices, le contemplant avec Marie, se perdant continuellement avec elle dans son amour, son imitation, son adoration.

     " Puis cette longue suite de noms éveille la pensée du néant des hommes ; du néant de la vie ; du néant des grandeurs… Tous ces hommes ont vécu : où sont-ils ? Tous ont passé : toutes ces générations sont dans le sépulcre : toutes sont couchées ensemble dans un même néant, une même poussière, un même oubli. C’est la mort : « Frère, il faut mourir ». « Homme, tu es poussière et tu retourneras en poussière ». Avec le néant de la vie, ces générations disparues nous chantent le néant des grandeurs : la plupart des hommes dont les noms se suivent furent riches, puissants, chefs, rois : où est leur grandeur, leur puissance ? Qu’en ont-ils emporté au tombeau ? Qu’en reste-t-il ? Rien, rien pour eux, rien pour d’autres. Tout a disparu aussi complètement que si cela n’avait pas été… Employons donc bien cette vie, puisque ses moments sont si courts ; puisqu’il suffit d’un combat de si peu d’instants pour jouir d’une éternelle victoire… Et méprisons ces richesses, cette puissance, ces sceptres si fragiles qui passent si vite, si complètement et tombent si vite et si totalement en poussière, après n’avoir servi le plus souvent qu’à augmenter les peines éternelles de ceux qui les ont possédés, ou à retarder pour eux l’heure de la félicité : « Les puissants seront puissamment châtiés ». « Malheur aux riches ». "

     (à suivre)

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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 08:30

Strasbourg / 150e anniversaire de Charles de Foucauld
"L'inauguration d'une sainte place" (Titre des Dernières nouvelles d'Alsace)
Deux ans après l'édification de la statue de Charles de Foucauld devant l'église catholique Saint-Pierre-le-Jeune (*), celui qu'on appelle le « frère universel » possède depuis hier matin, sa place à Strasbourg.

Les autorités civiles et religieuses se sont associées pour rendre hommage au catholique strasbourgeois, Charles de Foucauld, l'année du 150e anniversaire de sa naissance. C'est en présence de généraux, de Mgr Christian Kratz, du sénateur-maire Roland Ries et de parents de Charles de Foucauld, que la place a été inaugurée. L'occasion pour le maire strasbourgeois de rappeler l'itinéraire exceptionnel de l'ermite catholique. Et d'inscrire dans le paysage urbain, l'alsacien Charles de Foucauld, béatifié en 2005.

La place Charles-de-Foucauld a été inaugurée hier en
présence de l'arrière-arrière petit-neveu du religieux
strasbourgeois.
 
 
(*) Voir le détail sur cette statue dans nos articles des 27 novembre 2006, 13 et 20 janvier 2007.
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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 19:32
Inauguration de la place Charles-de-Foucauld,
ce 29 novembre  2008
     Une nouvelle place sera inaugurée samedi matin à Strasbourg, devant l'église catholique Saint-Pierre-le-Jeune, en face du tribunal. Elle prendra le nom du Bienheureux dont la statue orne le parvis depuis deux ans : le père Charles de Foucauld
      Ce dernier fut baptisé catholique à Strasbourg dans une église du même nom, en novembre 1858. Mais ensuite cette église est devenu un temple protestant et la communauté catholique a construit ailleurs une autre église du même nom, celle évoquée dans le permier paragraphe ci-dessus.
      Charles de Foucauld, né à Strasbourg le 15 septembre 1858, a passé toute son enfance (1858-1870) en Alsace, élevé par ses grands-parents maternels après le décès de ses parents.
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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 22:56

1er décembre 2008

Fête liturgique du Bienheureux Charles de Foucauld

92e anniversaire de sa mort

 

 

C’est le Dimanche 30 novembre, que la Paroisse Saint-Augustin célébrera Charles de Foucauld :

 

- à 16 h 30, (à l’église basse 1, avenue César Caire) : Partage, auquel tout le monde est invité, sur le récent pèlerinage de la paroisse à Tamanrasset sur les pas de Charles de Foucauld.

- suivral'église haute) un temps d'Adoration eucharistique.

 

- à 18 h 30 (à l'église haute) : Messe de la fête du Bienheureux Charles de Foucauld

Pour des informations plus précises, contact :

tél. 01 45 22 23 12 – secretariat@saintaugustin.netwww.saintaugustin.net

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 00:28

Du 22 au 30 novembre,
à la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre,
grande neuvaine de prière à l’occasion des 150 ans de la naissance
du Bienheureux Charles de Foucauld,

Cette neuvaine se clôturera le 1er décembre,
anniversaire de la mort de Charles de Foucauld,
par une messe solennelle à 18h30.

 

   Au programme de ces journées :

  • - Samedi 22 novembre à 20h 15 : Conférence de Monsieur Laurent TOUCHAGUES, Directeur de publication du Bulletin des Amitiés Charles de Foucauld, sur le thème « La vocation de Charles de Foucauld », à la Salle Saint-Irénée (entrée par le chevet de la Basilique au 35, rue du Chevalier de la Barre).

  • - Samedi 29 novembre à 20h 15 : Conférence de Monsieur Pierre SOURISSEAU, Secrétaire du Postulateur de la cause de Charles de Foucauld, sur le thème : « Le projet d’évangélisation de Charles de Foucauld », à la Salle Saint-Irénée

  • - Du dimanche 23 novembre au dimanche 30 novembre :
          à 20h 45 : enseignement introduisant à la nuit d’Adoration, à la lumière des écrits de Charles de Foucauld
          à 21h 10 : temps d’Adoration guidée, à partir d’un livret de Neuvaine disponible dans la Basilique
          à 21h 30 : Complies, suivies de la messe de 22h et de la participation au relais d’Adoration de nuit
          (hébergement sur place, sur inscription préalable au 01 53 41 89 03)

  • - Vendredi 28 novembre à 21h : grande veillée d’Adoration avec Charles de Foucauld, animée par les sœurs Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre et les jeunes.
       (Pour les jeunes : rendez-vous pour la préparation de la veillée dès 19h 30 au 35, rue du Chevalier de la Barre 75018).

    (Source :
    www.catholique-paris.com)
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28 septembre 2008 7 28 /09 /septembre /2008 23:23


Voici la fin de la méditation du Souverain Pontife, le 14 septembre dernier au terme de la procession eucharistique à Lourdes :

" Le bienheureux Charles de Foucauld est né en 1858, l'année même des apparitions de Lourdes. Non loin de son corps raidi par la mort, se trouvait, comme le grain de blé jeté à terre, la lunule contenant le Saint-Sacrement que frère Charles adorait chaque jour durant de longues heures. Le Père de Foucauld nous livre la prière de l'intime de son coeur, une prière adressée à notre Père, mais qu'avec Jésus nous pouvons en toute vérité faire nôtre devant la Sainte Hostie :

« `Mon Père, je remets mon esprit entre Vos mains'.

« C'est la dernière prière de notre Maître, de notre Bien-Aimé... Puisse-t-elle être la nôtre, et qu'elle soit non seulement celle de notre dernier instant, mais celle de tous nos instants :

« Mon Père, je me remets entre vos mains ; mon Père, je me confie à vous ; mon Père, je m'abandonne à Vous ; mon Père, faites de moi ce qu'il Vous plaira ; quoi que Vous fassiez de moi, je Vous remercie ; merci de tout ; je suis prêt à tout, j'accepte tout ; je Vous remercie de tout. Pourvu que Votre volonté se fasse en moi, mon Dieu, pourvu que Votre volonté se fasse en toutes Vos créatures, en tous Vos enfants, en tous ceux que Votre coeur aime, je ne désire rien d'autre, mon Dieu ; je remets mon âme entre Vos mains ; je Vous la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon coeur, parce que je Vous aime, et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre entre Vos mains, sans mesure, avec une infinie confiance, car Vous êtes mon Père » (Méditation sur les Saints Évangiles).

" Frères et soeurs bien-aimés, pèlerins d'un jour et habitants de ces vallées, frères évêques, prêtres, diacres, religieux, religieuses, vous tous qui voyez devant vous l'infini abaissement du Fils de Dieu et la gloire infinie de la Résurrection, restez en silence et adorez votre Seigneur, notre Maître et Seigneur Jésus le Christ. Restez en silence, puis parlez et dites au monde : nous ne pouvons plus taire ce que nous savons. Allez dire au monde entier les merveilles de Dieu, présent à chaque moment de nos vies, en tout lieu de la terre. Que Dieu nous bénisse et nous garde, qu'Il nous conduise sur le chemin de la vie éternelle, Lui qui est la Vie, pour les siècles des siècles. Amen."

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 11:57



      « Tout est venu du Christ, même Marie ; tout est venu par Marie, même le Christ », lança le Saint-Père dans une formule fulgurante, l’après-midi du 14 septembre, lors d’un inoubliable moment de communion devant le Saint-Sacrement au cours duquel il a lu l’émouvante prière d’abandon du bienheureux Charles de Foucauld adressée à notre Père. « Le silence de ces milliers de personnes devant le Seigneur était émouvant : non pas un silence vide, mais plein de prière et conscient de la présence du Seigneur qui nous a aimés jusqu’à monter pour nous sur la croix », commentait Benoît XVI à l’audience générale, dans les jours qui ont suivi. Désignant le Christ à la foule rassemblée, le pape nous avait dit en ce dimanche de la Sainte Croix : « Ne regarde plus tes blessures, regarde les siennes ». « Les saints du ciel ne cessent d’intercéder pour nous. Ils étaient pécheurs et le savaient, mais ils ont accepté de ne pas regarder leurs blessures et de ne plus regarder que les blessures de leur Seigneur, pour y découvrir la gloire de la Croix, pour y découvrir la victoire de la vie sur la mort »…

(Source : le journaliste François Vayne, présent tout au long du pèlerinage pontifical, y compris dans l'avion)

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15 juin 2008 7 15 /06 /juin /2008 21:38
  

(Crédit Photo :  © Qwyzyx - Roma)
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